Témoignages de Didier Beaufils et Denis Andrieu, franchisés Diagamter

  • Créé le : 28/05/2020
  • Modifé le : 29/05/2020

Didier Beaufils et Denis Andrieu ont décidé de devenir franchisés Diagamter car ils sont tous les 2 des passionnés du secteur du bâtiment. Possédant une forme de complémentarité de compétences, de caractères et de terrains d’expressions, ils ont ouvert ensemble leur 1ère franchise au Havre, en 2010 et la seconde à Bernay, en 2013.

Didier Beaufils et Denis Andrieu, franchisés Diagamter

Didier Beaufils et Denis Andrieu, des profils complémentaires, mais des principes semblables !

Didier Beaufils, 52 ans, était indépendant depuis toujours, et Denis Andrieu, 50 ans, était épanoui dans une carrière salariée. Rien ne prédestinait donc les 2 hommes à réussir un tel développement en commun, et pourtant, après avoir travaillé durant 8 ans au service du même cabinet de diagnostic immobilier à des postes complémentaires, ils reprennent ensemble l’entreprise.

« Durant plus de quinze ans, j’ai travaillé pour Bouygues Construction à l’international dans l’industrie sur des chantiers d’envergure : centrale nucléaire thermique, coulée continue dans une aciérie, quai de déchargement dans un port… Le bâtiment était encore un secteur qui permettait de monter en compétences et jouer un rôle d’ascenseur social. D’ouvrier, je suis devenu chef de chantier », explique Denis Andrieu, franchisé Diagamter au Havre et à Bernay.

En 2002, lorsqu’il doit être muté à Bordeaux, il refuse ce nouveau déplacement, d’une part pour préserver son mariage et d’autre part, pour épauler son beau-père, Denis Coustet, dans son cabinet Diagamter en devenant son 1er salarié, avec l’idée de reprendre le cabinet à un moment opportun pour tous les 2.

Didier Beaufils, quant à lui, avait pu développer son sens du commerce en travaillant en tant qu’indépendant dans l’artisanat et le secteur tertiaire.

« J’ai été formé à l’Institut National de la Boulangerie Pâtisserie à Rouen, puis à l’école Valrhona, avant d’être boulanger-pâtissier durant une quinzaine d’années. C’est en achetant des appartements et des maisons pour les rénover que, par relationnel, j’ai intégré, en 1996, une agence immobilière au Havre, en tant qu’indépendant durant près une dizaine d’années.

Je n’ai jamais postulé nulle part, ma vie professionnelle n’est qu’une succession de rencontres et d’opportunités. J’étais l’un des prescripteurs de Denis Coustet. Lorsque la tendance dans mon métier a été de vouloir salarier les détenteurs d’une carte professionnelle d’agent immobilier, j’ai intégré comme commercial le cabinet Diagamter du Havre », explique Didier Beaufils, aujourd’hui franchisé Diagamter au Havre et à Bernay.

Le respect réciproque, une condition nécessaire à la réussite des associés !

Partageant la même passion pour le bâtiment, Didier Beaufils et Denis Andrieu ont repris le cabinet du Havre en 2010, puis celui de Bernay en 2013.

A la tête de 11 salariés, chacun des 2 hommes possède son domaine de prédilection: Denis Andrieu manage l’équipe de production et les secrétaires alors que Didier Beaufils, qui a passé ses certifications de diagnostiqueur immobilier, gère toute la prospection commerciale.

La complémentarité de leurs profils respectifs leur permet de gagner en efficacité et de prendre des décisions plus mesurées.

« Dans la production, travailler en équipe, c’est une nécessité, un mode de fonctionnement déterminant que je connaissais déjà chez Bouygues. Chaque technicien est certes seul pour opérer dans un bien, mais il doit pouvoir constamment échanger avec ses collègues sur toute particularité découverte durant sa mission. De plus, la vie professionnelle ne doit jamais être vécue comme une contrainte. Notre moteur en tant que chefs d’entreprise, c’est aussi de donner de l’emploi et de faire en sorte que nos salariés, tout comme nous, viennent travailler avec le sourire. C’est d’autant plus simple à mettre en place qu’avec Didier que nous avons la même philosophie de vie professionnelle », déclare Denis Andrieu.

Et Didier Beaufils partage tout à faire ce point de vue. Pour lui, lorsqu’on est associés, il faut bien se connaître mutuellement, se répartir clairement les tâches à exécuter, ne pas se contredire devant les salariés et ne pas intervenir dans le domaine de l’autre.

« Si vous voulez qu’on vous respecte, il faut respecter les autres. Nous voulons rester une petite entreprise familiale, en fidélisant nos salariés, par la rémunération comme par l’ambiance de travail. C’est aussi un personnel compétent et motivé qui nous permet de développer les bénéfices du cabinet », explique encore Didier Beaufils.

Le franchisé Diagamter explique également qu’il est important de maintenir une certaine bonne humeur dans la prospection commerciale et rencontrer régulièrement les prescripteurs.

« La vente, c’est avant tout savoir s’adapter à tout le monde en ayant toujours un petit geste convivial de plus que les autres, qui vous fera être préféré à la concurrence, sans que cela soit d’abord une question de tarifs », explique-t-il.

Par ailleurs, pour lui, il est bien normal pour un chef d’entreprise d’ambitionner de développer son affaire. Mais il faut savoir que « les problématiques pour gérer 2 ou 10 personnes sont les mêmes, et que déléguer rapidement des tâches administratives ou juridiques offre de mieux exploiter son propre potentiel », souligne Didier Beaufils.

Diagamter, un réseau sur lequel on peut s’appuyer pour se développer !

Pour l’accélération du développement de leur projet, les 2 franchisés peuvent, bien évidemment, s’appuyer sur la force de leur réseau.

« Notre enseigne, Diagamter, possède une vision à moyen et long terme des tendances de notre marché et anticipe les évolutions réglementaires. Nous échangeons aussi avec les autres franchisés, qui pratiquent la même activité que nous sans entrer en concurrence directe avec notre cabinet. Ce benchmark mutuel nous aide, par exemple, à connaître ce qui fonctionne ou pas dans l’approche des agences immobilières sous enseigne, ou à mieux manager les techniciens », observe Denis Andrieu.

 

« Dans l’activité commerciale, je bénéficie de publicités de qualité, tant à la télévision que dans les documents remis aux prospects. Je vends ainsi une prestation professionnelle, une image de marque. Au-delà du soutien technique et juridique dont ne peut pas disposer une entreprise isolée dans notre secteur, appartenir à un réseau nous donne de la crédibilité face aux clients », conclut Didier Beaufils.

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