En ces temps de crise, la tâche n’est pas toujours facile. Face aux nouvelles exigences des banques pour prêter de l’argent aux entrepreneurs, des nouvelles solutions existent qui permettent aux gestionnaires de s’affranchir de la frilosité des banquiers et donnent de nouvelles perspectives pour financer des projets de création de sociétés Tel est en tous cas ce qu’expliquait Conseil expert dans son éditorial de septembre 2012.
Selon Conseil Expert, les banquiers – sous prétexte de nouvelles obligations et de respect de ratio de fonds propres – ont un nouvel alibi nommé « régulation prudentielle » qui engendre une véritable raréfaction des crédits aux entreprises. Dans ce contexte, se développent notamment des services de type affacturage qui financent le poste client et permettent de raccourcir les délais de paiement. Cette solution se fait contre une commission plus ou moins négociable selon les secteurs et les pays.
L’autre tendance qui permet aux entreprises de s’affranchir des banques pour trouver des fonds s’avère être, toujours selon Conseil Expert, le recours aux financements par des investisseurs et ce sans forcément les faire entrer au capital. D’un côté, les entreprises de taille intermédiaire et les PME françaises sont de plus en plus nombreuses à émettre des obligations. De l’autre, les plus petites sociétés se rassemblent pour mutualiser le risque et les coûts. Deux maître-mots : l’union et la solidarité.
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