Cet engouement pour les services à la personne trouve sans nul doute son origine dans l’apparition de nouveaux modes de vie et de nouvelles réalités sociétales comme l’allongement de la durée de vie, la hausse de l’activité professionnelle des femmes et la recherche d’une meilleure conciliation entre vie professionnelle et vie familiale. Boosté par la loi Borloo de 2006 et par la création du chèque emploi service universel (CESU), le secteur des services à la personne reste aujourd’hui un marché d’avenir qui regroupe des activités aussi diverses que le ménage, le repassage, la garde d’enfants, le petit bricolage, le conseil informatique ou l’aide aux personnes dépendantes…
Selon l’étude réalisée par le cabinet d’études Market Audit, 42 % des personnes interrogées déclarent que le manque de temps est la première motivation pour avoir recours aux services à la personne. L’objectif est clair : les Français veulent réduire le temps passeéà certaines tâches – comme le ménage – pour se consacrer davantage à leurs enfants et à leur famille. Si la prise de décision est avant tout familiale (à 52 %), l’étude montre qu’elle est majoritairement régie par les femmes ! Concrètement, 27 % des ménages interrogés ont recours au moins une fois par semaine à des services de ménage et repassage à domicile, en gré à gré, via une société de services (comme les franchises) ou via des associations.
75 % des personnes interrogées pour cette enquête se déclarent satisfaites du recours aux sociétés de services, 89 % apprécient la qualité du travail fourni et 1/3 se déclare même « très satisfait ».
Si pour la majorité des Français, en dehors des compétences techniques, le soin apporté, la minutie, la confiance ou la discrétion font partie des qualités recherchées, 64 % des interviewés sont satisfaits par leur employé actuel. Et sur les relations avec leur employé de maison, ils les qualifient de conviviales à 58 %, amicales pour 28 % et même familiales pour 7 % !
Selon l’enquête, 1/3 des Français interrogés privilégient les sociétés de services (pour la simplicité de démarches administratives, les déductions fiscales, les garanties offertes… et de pas avoir à effectuer seul un recrutement !), 18 % font appel à des associations et moins de la moitié choisit le gré à gré (sans effectuer véritablement de recrutement, puisque dans la majorité des cas le choix se fait sur recommandation d’une tierce personne !).
Attention, on notera qu’il existe quand même un freins quant au recours à une société de services : les coûts jugés trop élevés pour 31 % des personnes interrogés… sûrement parce que les Français méconnaissent encore les incitations fiscales liées aux services à la personne !
Pour en savoir plus sur ce secteur, découvrez les franchises de services à la personne qui recrutent
Audrey, rédactrice AC Franchise