Le magasin accueillant les consommateurs pour l’achat des produits doit répondre aux normes de sécurité relatives aux établissements recevant le public.
Doivent aussi être respectées les règles de la tranquillité du voisinage et les normes d’hygiène des locaux. S’applique aussi aux confiseurs la règlementation sur la vente de produits frais en ce qui concerne les dates de consommation.
Le commerçant ou franchisé en chocolat doit être vigilant quant à la législation évolutive est contraignante, surtout en ce qui concerne les règles d’hygiène. Il faut aussi savoir bien maîtriser l’étiquetage des produits qui doit comporter la composition des ingrédients et la date maximale d’utilisation. La fédération des chocolatiers désire mettre en place des formations spécifiques à ces deux aspects d’hygiène et d’étiquetage.
Pour la règlementation financière, les factures fournisseurs doivent être payées à 60 jours de la date d’émission de la facture ou à 45 jours fin de mois. Les baux commerciaux sont indexés sur l’indice des loyers commerciaux.
En ce qui concerne l’imposition, le taux de la TVA est de 19,60 %.
Vu le succès reconnu dans ce secteur, beaucoup sont ceux qui souhaitent devenir chocolatier en franchise ou en tant qu’indépendant. Les emplacements de premier choix sont rares, certaines zones sont saturées.
Il est important de limiter au maximum les invendus. Une analyse du chiffre d’affaires doit permettre de comprendre et d’anticiper les variations des ventes.
Les cours des matières premières du secteur étant fluctuantes, il est difficile et important de bien gérer ses achats et ses stocks.
Le franchisé doit savoir faire évoluer sa marge suivant les périodes. Il sera nécessaire de les anticiper afin d’assurer un bon chiffre d’affaires. Mais la trésorerie ne doit pas être une difficulté puisque les paiements de produits par la clientèle se font au comptant.
Au vu des ces contraintes, il sera plus facile de s’appuyer sur un réseau et ouvrir un commerce de chocolat en tant que franchisé.
Le chocolat est un produit gourmand, acheté à la fois pour soi-même, et souvent pour offrir. Les clients qui entrent dans une chocolaterie veulent faire plaisir ou se faire plaisir, ce n’est pas un achat « contrainte », et cela rend la relation client-commerçant agréable et chaleureuse.
Dans les chocolateries, l’achat représente un moment de détente et de plaisir, au cours duquel il est plus facile pour le commerçant d’échanger, de s’intéresser au client. C’est un moment propice pour proposer des produits complémentaires. Le métier autorise le commerçant à faire goûter ses produits, cela crée une relation de confiance et incite aussi à l’achat.
Et pendant les heures creuses, pas de quoi de s’inquiéter pour le commerçant : emballages, décoration, aménagement du magasin le côté créatif prend toute son importance, et rend le métier d’autant plus agréable.
Vous souhaitez ouvrir une franchise de chocolat ? Contacter les réseaux qui recrutent actuellement en France et exposez leurs votre projet !