Souvent décrié pour ses effets excitants, sa tendance à provoquer de l’insomnie, de l’anxiété ou accélérer le rythme cardiaque, le café, au-delà du plaisir gustatif qu’il suscite, aurait pourtant certaines vertus souvent méconnues. C’est en tout cas ce que nous explique la journaliste Claire Hache dans un article de l’Express d’octobre 2014. Elle nous donne cinq bonnes raisons d’en boire… avec modération !
Un rôle bénéfique pour la santé
« Contrairement à certaines idées reçues, nous explique la journaliste consommé avec modération, le café possède des vertus pour la santé. » Il participerait ainsi à une hausse de la vigilance, aurait un potentiel antalgique, détiendrait un rôle bénéfique sur le diabète de type 2, serait une protection contre la maladie de Parkinson et favoriserait la digestion. What else ?
Accroissement de la vigilance et vertus antalgiques
A l’image de nombreux artistes qui ont choisi le café comme boisson de prédilection – l’article cite Beethoven qui buvait avant de composer ou Balzac qui consommait cinquante tasses par jour -, il paraît évident que la caféine a un effet sur notre vigilance. Dans des conditions de fragilité – après le déjeuner, en cas de travail et conduite de nuit ou lorsqu’on est enrhumé, il nous permet de rester éveillé et d’être plus attentif. Le café a également un effet sur la douleur qu’elle soit menstruelle, dentaire ou post-opératoire et s’avère surtout reconnu lors de maux de tête.
Amélioration de la digestion
Le café a également un effet bénéfique sur la digestion puisqu’il stimule la sécrétion de gastrine et la production d’acide gastrique. La journaliste nous rappelle néanmoins que « si les études montrent une absence de risque de pathologie gastro-oesophagienne, il est quand même préférable d’éviter le café en cas d’ulcère ou de reflux gastro-oesophagien ».
Une action sur le diabète de type 2
L’article cite également le livre Café et médecine en 20 questions d’Astrid Nehlig, directrice de recherche de l’Inserm. De nombreuses études citées dans montrent l’effet positif du café sur les diabètes de type 2 c’est à dire non insulino-dépendant. Ici, ce n’est pas la caféine qui agit sur l’organisme mais les oxydants (polyphénols et diterpènes) (polyphénols et diterpènes) qui le composent.
Prévention de la maladie de Parkinson
Enfin, selon Clair Hache, « le « petit noir » augmente les performances motrices et favorise le ralentissement de la dégénérescence des neurones ».Le café aurait notamment un rôle protecteur à long terme dans le cadre de la maladie de Parkinson.