Chez Midas, on a remarqué que de plus en plus de femmes sont candidates à la franchise, que ce soit pour la création ou la reprise d’un garage. Émilie Dordain, partenaire franchisée Midas à Toulouse, revient sur son parcours.
Parcours de la franchisée Émilie Dordain
Exerçant auparavant dans le secteur de l’immobilier, Émilie Dordain a rejoint le réseau Midas en 2021 en reprenant, avec son conjoint, le centre de la route de Narbonne à Toulouse.
« Étant associée minoritaire et très emballée par l’idée de devenir moi-même entrepreneuse, j’ai repris à mon tour un centre en 2022, celui situé Avenue des États-Unis, toujours à Toulouse. En tant que femme avec enfants, j’ai tout de suite saisi cette opportunité d’indépendance et de liberté », confie la franchisée.
Émilie Dordain a eu droit à de nombreuses formations sur les pneus, le freinage … avant de pouvoir maîtriser aussi bien l’aspect administratif que la gestion, l’accueil et la vente au sein du centre.
« Mes collègues sont ravis de cette présence féminine. En effet, cela apporte un plus au quotidien. Je suis par exemple en mesure d’adapter plus facilement mon langage pour vulgariser des propos qui pourraient être techniques. Mon sens de la relation avec les clients est également un atout ».
Ayant déjà été confrontée à des clients réfractaires à l’idée d’échanger avec une femme, la cheffe d’entreprise encourage celles qui veulent se lancer et de ne surtout pas hésiter à le faire.
« Être une franchisée au sein du réseau Midas c’est recevoir le soutien sans faille et l’aide des équipes. L’accompagnement est complet, que ce soit sur les formations ou les échanges avec les interlocuteurs des différents pôle ».
Inès Charara, responsable du recrutement des franchisés chez Midas France, a affirmé de son côté que pour le développement de son réseau, Midas recherche, avant tout, des personnalités. Peu importe s’il s’agit d’hommes ou de femmes, l’essentiel c’est qu’ils fassent preuve de motivation et d’un sens aigu du commerce.
Il n’est pas non plus nécessaire d’être issu du secteur de l’automobile, tant que le candidat a la volonté de travailler en réseau tout en restant autonome dans la gestion de son centre.
« Sur notre vingtaine d’ouvertures par an, l’heure n’est malgré tout pas encore à la mixité mais l’audace des femmes se fait de plus en plus sentir. Elles sont de plus en plus nombreuses à candidater et à retenir notre attention. La reconnaissance de leurs qualités par la clientèle et leurs confrères est indéniable. Nous encourageons donc les entrepreneuses à ne pas rougir de cette ambition d’acquérir un centre Midas ! Elles sont les bienvenues et gages d’une plus grande richesse humaine de nos équipes », conclut Inès Charara.