Interview vidéo AC Franchise Coviva réalisée en 2011
Emilie Spriet : « Je me suis installée à Lille, j’ai obtenu un diplôme d’ingénieur agronome, précisément en agriculture, et j’ai plusieurs expériences dans la grande distribution. Poussée par cette envie continuelle de créer ma franchise, je me suis orientée – dans le milieu de la grande distribution – vers des projets de création, projets de management dans tous les postes que je ciblais pour au final créer ma propre entreprise.
J’ai voulu créer mon entreprise depuis la fin de mes études. J’ai d’abord voulu avoir de l’expérience que j’ai acquise petit à petit. Néanmoins, il est vrai que je n’ai pas beaucoup d’années d’expérience, raison pour laquelle j’ai choisi la franchise. Je me suis trouvée dans un poste qui était en cours de suppression pour des raisons économiques. Je me suis alors dit que c’était le moment idéal pour créer ma propre entreprise.
Sortant d’une expérience économiquement difficile, je me suis dit qu’il ne fallait pas s’aventurer sur n’importe quel secteur parce que Coviva c’est aussi un secteur de franchise dans lequel je me retrouvais. Au niveau des compétences, cela correspondait à mon profil et à mes expériences professionnelles précédentes, donc je me sentais capable de créer mon entreprise dans ce secteur là.
J’ai effectué beaucoup de recherches sur le web, j’ai passé plusieurs appels, j’ai cherché des renseignements de tous les côtés par le biais d’une famille qui travaille dans le secteur de la gérontologie, et puis je suis tombée sur le site de la franchise Coviva. J’ai vraiment adhéré aux valeurs, aux ambitions et à la politique de cette franchise de services aux personnes dépendantes. J’ai donc entamé la procédure et j’ai foncé !
J’ai passé plusieurs entretiens téléphoniques, j’ai rempli un dossier puis j’ai dû me déplacer sur Clermont-Ferrand où se situe le siège de la franchise Coviva, où j’ai passé des entretiens de motivation, des tests – largement accessibles à tous- et répondu à un questionnaire psychologique. Par la suite, j’ai assisté à une formation de quatre semaines pour pouvoir m’adapter au nouvel environnement de travail et obtenir mon agrément qualité indispensable pour démarrer dans cette activité.
J’ai cherché à me renseigner pour savoir si c’était la bonne franchise, donc l’entretien s’est joué dans les deux sens. J’ai senti que j’étais en phase avec les souhaits de développement, les ambitions et les valeurs de la franchise Coviva, donc j’ai creusé la piste du manager d’agence en téléphonant à différents franchisés déjà installés pour voir comment cela se passait pour eux. J’étais très rassurée, les autres franchisés étaient très accueillants, ils ont répondu à toutes mes questions en toute transparence, il n’y avait pas de choses cachées, c’était clair et droit.
Ce que j’aime dans le métier de chef d’entreprise c’est d’être polyvalente. Maintenant c’est vrai que le métier de gestion des hommes est lourd en responsabilités, il est très prenant, cela demande une présence et une réactivité au quotidien, notamment parce que nous gérons des hommes qui s’occupent de gérer d’autres hommes.
Ce métier demande également énormément d’investissement personnel et une bonne organisation. Il y a des moments de galère, des coups durs, des arrêts maladie à gérer, des remplacements, des bénéficiaires qui ne sont pas satisfaits de leur intervenante qu’il faut changer rapidement, donc effectivement par rapport à tout cela, nous devons réagir rapidement.
Par contre, quand nous avons un souci récurrent avec un salarié que nous souhaitons résoudre ou des problèmes plus importants, nous faisons appel à la franchise Coviva pour être certains de faire les choses comme il faut parce que c’est aussi notre politique et nos valeurs de faire les choses correctement. Cela passe par des entretiens avec les salariés pour bien leur expliquer les choses et de la bonne manière pour qu’il n’y ait aucun souci et que les deux parties s’y retrouvent ».
AC Franchise : Qu’aimeriez-vous pour votre franchise Coviva ?
« Mes perspectives à court et à moyen terme sont de continuer à nous développer, acquérir la confiance d’autres bénéficiaires parce que nous faisons bien notre travail. Nous ne sommes pas très connus parce que nous venons de démarrer donc nous aimerions satisfaire de plus en plus de clients et toucher de plus en plus de salariés car nous avons des difficultés à recruter dans le secteur.
Nous aimerions aussi acquérir plus de notoriété, se faire connaitre, s’agrandir, toujours en gardant cette même qualité de travail qui fait que nous soyons aujourd’hui reconnus et appréciés par certains percepteurs qui nous recommandent ».