Claude Lapostolle a été d’abord franchisé dans un autre réseau avant de rejoindre la franchise Diagamter, à l’âge de 56 ans. Il souhaitait exercer une activité de proximité et profiter de l’accompagnement d’un franchiseur pour se lancer dans un nouveau métier. Il est aujourd’hui aux commandes de son cabinet à Dôle.
Claude Lapostolle se lance d’abord dans la téléphonie mobile…
Claude Lapostolle est issu d’une famille d’entrepreneurs maraîchers. Lorsque son père a pensé à prendre sa retraite, il lui a proposé de reprendre l’entreprise familiale, qui sera plus tard intégrée à une coopérative agricole et dans laquelle il resta dirigeant en devenant associé minoritaire.
Plus de 10 ans plus tard, la coopérative rejoint le principal groupe agricole et agroalimentaire de Bourgogne Franche-Comté. Et c’est là qu’il commence à réfléchir à créer sa propre société. Mais il lui fallait réapprendre un métier, raison pour laquelle il a opté pour la franchise.
En 2006, la téléphonie mobile étant en plein boom, il choisit de s’orienter vers ce secteur:
« Ma sœur possédait un pas-de-porte en emplacement numéro 1 à Dôle. Nous nous sommes associés pour devenir franchisés The Phone House, un concept de solutions télécoms multi-opérateurs : elle à la gestion et moi au commerce. C’est l’arrivée d’un quatrième opérateur de téléphonie portable qui révolutionnera le marché et entraînera un déclin inéluctable de nos parts de marché. Notre enseigne a alors proposé à tous ses franchisés d’accompagner leur transition vers l’entrepreneuriat dans un autre réseau, en se montrant vraiment soucieuse de notre sort et en nous rachetant une partie de notre fonds de commerce. Mais aucune franchise sélectionnée par The Phone House ne convenait à mes aspirations », relate Claude Lapostolle.
… Avant de choisir la franchise Diagamter !
C’est alors que Claude Lapostolle commence à étudier les réseaux de franchise dans le secteur du bâtiment. Il recherchait un concept qui ne soit pas uniquement basé sur la force de vente, et un métier plus technique, qui subisse moins la concurrence d’Internet. En étudiant une dizaine d’enseignes dans le secteur du diagnostic immobilier, il opte pour Diagamter:
« Dès les premiers contacts avec Diagamter, je ressens que rien n’est laissé au hasard dans cette franchise, en particulier pour les outils informatiques et dans les documents mis à disposition pour leur prospection commerciale. Cette enseigne proposait également une éthique dans la pratique du métier, avec trois associés à la tête du réseau qui se complétaient bien et excellaient dans leur domaine de tête de direction.
Trois mois d’une formation, dont la partie théorique était dispensée de manière ludique par des spécialistes de chaque discipline, ont été nécessaires pour obtenir les certifications nécessaires à la pratique de notre activité. Dans la partie pratique, j’ai bénéficié d’une semaine en stage chez deux franchisés différents, permettant notamment de mieux appréhender le maniement des logiciels sur le terrain », confie Claude Lapostolle.
Chez Diagamter, l’entrepreneur franchisé n’est jamais isolé !
Depuis l’ouverture de son cabinet à Dôle, en février 2014, Claude Lapostolle a pu compter sur l’accompagnement de l’équipe du franchiseur et la proximité avec les autres franchisés Diagamter.
Même si chaque maison est un cas particulier, presque toutes les situations ont été rencontrées par les autres entrepreneurs du réseau qui peuvent partager les solutions qu’ils ont trouvé à chaque cas de figure.
Pour le franchisé Dôle, cette solidarité au sein du réseau se ressent particulièrement lors de la Convention nationale et des réunions régionales de l’enseigne, durant lesquelles les franchisés ont réellement plaisir à se retrouver.
« Chez Diagamter, tout est organisé pour que l’entrepreneur franchisé ne soit jamais isolé et développe ses relations avec les prescripteurs de son activité et ses clients directs. Le pack communication du réseau, en particulier Les Pages Jaunes, génère ainsi beaucoup de contacts entrants.
Après deux ans d’exercice, je réalise désormais un chiffre d’affaires suffisamment important pour pouvoir embaucher un technicien. En construisant une véritable structure d’entreprise, je me donnerai ainsi l’opportunité, à terme, de pouvoir revendre mon affaire en disposant d’un fonds de commerce, et non d’une entreprise unipersonnelle reposant sur l’énergie d’un seul homme », conclut Claude Lapostolle.
Depuis la réalisation de ce portrait, début 2016, Claude Lapostolle a embauché un technicien dans son cabinet.