Frédéric Walter est à l’origine de la nouvelle franchise Avenir Rénovations de Beauvais (60). Après plus de 20 ans dans le secteur automobile, il a décidé d’entreprendre aux côtés du spécialiste de la rénovation tous corps d’état.
Pourquoi avez-vous choisi d’entreprendre dans le domaine de la rénovation ?
« Issu d’une formation technique de mécanicien automobile, j’ai travaillé durant plusieurs années dans le secteur automobile. Après avoir exercé en tant que vendeur, j’ai évolué pour devenir chef des ventes ».
Après 22 ans dans ce secteur, Frédéric Walter a voulu écrire une nouvelle page de sa carrière professionnelle en lançant sa propre entreprise. L’entrepreneuriat étant un sujet familial pour lui, qui ne l’a jamais quitté toutes ces années, il ne restait plus qu’à à trouver la bonne opportunité.
En raison de différentes expériences personnelles, plus ou moins bonnes avec des entreprises de rénovation, Frédéric Walter était de plus en plus tenté d’apporter une valeur ajoutée à des projets de vie.
« J’ai toujours aimé être à l’écoute des besoins de mes clients et leur apporter satisfaction. De plus, la rénovation est un secteur qui a de l’avenir. Le réseau Avenir Rénovations me paraissait être une bonne alternative pour me lancer dans cette nouvelle aventure et développer correctement mon projet ».
Pourquoi avez-vous rejoint le réseau Avenir Rénovations ?
« J’ai choisi Avenir Rénovations pour de multiples raisons. Tout d’abord, c’est l’un des franchisés qui m’a parlé de ce projet. J’ai tout de suite été séduit par le concept ce qui m’a donné envie de me lancer. Suite à un entretien avec Mr Di Luca pour en découvrir davantage sur cette licence de marque, j’ai été conforté par sa proximité, l’échange et l’ambition de l’entreprise ».
Frédéric Walter apprécie également le fait d’être bien encadré au sein de ce réseau qui a un petit côté « famille ». Intégrer une licence de marque lui permet de profiter d’un bon accompagnement et de la force et de la bonne image du réseau.
« Je suis très heureux d’avoir rejoint Avenir rénovations en tant que licencié du 60 à Beauvais ! », conclut-il.