L’événement « Entreprendre en franchise, pourquoi pas vous ?» mise, entre autres, sur les témoignages de franchisés qui ont réussi la création ou la reprise de leur point de vente.
De quoi motiver les porteurs de projets et leur remettre les clés du succès !
De quoi motiver les porteurs de projets et leur remettre les clés du succès !
VU DANS REZO, la revue de la FFF
Deux success stories de franchisées
Marine Delaigue, franchisée Solvimo à Lyon (69)
« Après un début de carrière en tant que commerciale dans l’événementiel j’ai décidé d’entamer une reconversion professionnelle en intégrant le réseau SOLVIMO en 2005. Tout d’abord négociante dans un premier temps, je suis devenue directrice d’agence en 2008 que j’ai fini par reprendre en 2013 avec une collaboratrice. Pour moi, la franchise est un modèle qui permet de gagner du temps. Au lancement on bénéficie de l’image et de la réputation de l’enseigne ce qui aide beaucoup par rapport à un commerçant isolé. De plus, tous les savoir-faire ont déjà été testés par le franchiseur, on est sûr de ce que l‘on fait, on envisage l’avenir avec plus de sérénité. La relation franchiseur-franchisé est une association, voire un mariage, il faut avoir les mêmes valeurs pour s’entendre ! Même si nous sommes de véritables chefs d’entreprise il faut savoir appliquer les méthodes de travail du franchiseur, respecter les process et faire des compromis qui nous permettront à terme d’aller plus vite et de voir plus loin. »
Aurélie Vincent, franchisée Éram à Nantes (44)
« Auparavant j’étais esthéticienne à mon compte durant 5 ans, mon mari a fait la rencontre d’un franchisé qui nous a encouragés à nous renseigner sur la franchise. Nous nous sommes rendus à Franchise Expo Paris en 2009, afin de discuter avec plusieurs enseignes, obtenir des informations sur le modèle, les différents secteurs, l’aspect financier …
Puis nous avons rencontré un développeur qui nous a donné envie de nous lancer. Nous connaissions bien l’enseigne dont le siège social est tout proche de chez nous. Nous avons rencontré le franchiseur, à qui il fallait prouver que notre projet était viable et que nous étions motivés l
Nous avons ouvert avec mon mari notre première boutique ÉRAM en 2012. Le magasin a très bien démarré et le franchiseur était satisfait de nos résultats, il nous a donc proposé d’ouvrir un deuxième point de vente, ce que nous avons fait en 2014. »