Tout va bien du côté des jardins et de la création paysagée. Ce secteur est en évolution continuelle sur le créneau des particuliers comme des entreprises. Selon l’UNEP (Union Nationale des Entreprises du Paysage), le marché a progressé en 2021 de 11% par rapport à 2020 et était déjà sur un trend positif entre 2019 et 2020 de plus 9%.
Un secteur qui existe depuis longtemps et qui a fait son chemin en proposant des options qui ne sont pas uniquement liées au jardinage, élagage, tonte, et entretien. Comme dans la décoration ou l’aménagement intérieur de la maison (home staging dans l’immobilier) ce sont des créations et rénovations de jardin et d’espace extérieur que proposent les quelques 30 000 entreprises du marché. Elles réalisent 6,3 milliards de chiffre d’affaires qui est issu en majorité des particuliers soucieux de créer un univers à leur image. Au-delà de la carte postale de leur jardin, ils souhaitent créer un lieu qui leur ressemblent et n’hésitent plus à s’adresser à des professionnels et les franchises sont là pour répondre à la demande.
L’organisation du marché du paysagisme
Ce sont les particuliers et non les commandes publiques qui font la réussite du secteur : quasiment la moitié (49%) du chiffre d’affaires est réalisée auprès des particuliers, 25,5% auprès d’entreprises privées et 25% auprès des marchés publics.
Sur le créneau des particuliers, ce sont les petites entreprises de moins de 10 salariés qui sont majoritaires. Sur celui des marchés publics avec des demandes nécessitant des moyens humains et techniques souvent très importants, ce sont les entreprises de grandes tailles qui opèrent. Le segment des entreprises privées (soit 65% des entreprises du secteur) sont souvent des structures sans salarié mais qui ont su faire perdurer un savoir-faire et fidéliser leur clientèle grâce à des contrats annuels de tonte, élagage, entretien pelouse.
Les espaces verts ont de belles perspectives avec la forte demande de végétalisation de l’environnement liée à un besoin de verdure et d’authenticité et de retour à la nature aménagée en fonction du l’endroit, du terrain, etc… que seul un vrai professionnel saura mettre en valeur et faire perdurer.
Les formations pour devenir jardinier-paysagiste
Si tout un chacun peut être jardinier à ses heures, le métier de jardinier-paysagiste demande quelques aptitudes et une formation minimum même si le métier n’est pas une profession règlementée.
Aucun diplôme n’est obligatoire pour se proclamer jardinier-paysagiste.
Par contre pour revendiquer le titre de concepteur-paysagiste ou architecte paysagiste ou ingénieur en aménagements paysagers, il est nécessaire de suivre des études pour obtenir les diplômes correspondants. Il y a plusieurs niveaux de CAP à bac +5.
Le CAP agricole de jardinier paysagiste est accessible en formation initiale pour les jeunes ou en formation continue pour les adultes en reconversion.
Niveau bac : bac pro AP (aménagements paysagers), ou CS (constructions paysagères)
Bac + 2 : BTSA agricole AP (aménagements paysagers)
Bac + 3 : licence professionnelle (conception, gestion des espaces paysagers ), bachelor d’assistant paysager (ESAJ) ou licence gestion des organisme agricoles à travers des options comme management d’entreprises horticoles et du paysage et obtention d’un certificat de spécialisation collaborateur du concepteur paysagiste
Bac + 5 : DEP (diplôme d’État de paysagiste) accès au concours interne ou externe proposé dans les écoles de paysage (ENSP), master européen de paysagiste jardinier (ESAJ), diplôme d’ingénieur en paysage.
Est-il possible de devenir paysagiste avec la franchise ?
La réponse est oui car la franchise propose une formation complète au métier de jardinier paysagiste.
Tous les profils sont bienvenus : celui qui veut se reconvertir dans un secteur qui a du sens pour lui et qui veut construire avec la nature des lieux vivants et changeant au fil des saisons ; celui qui veut créer son entreprise ou la faire évoluer s’il est déjà sur ce secteur d’activité.
Les avantages de la franchise sont multiples et donnent une vraie formation au métier de base et des formations permanentes tout au long du contrat.
Alors pourquoi pas vous ? citons en exemple la franchise PÉRÉNIA aménage vos extérieurs !
L’enseigne met la formation au centre de la réussite de ses futurs franchisés : Elle propose un stage d’immersion de 25 jours dans une agence franchisée ou une succursale du réseau.
Le futur franchisé bénéficie d’une formation de 5 semaines avant l’ouverture de l’agence. Puis, des sessions de formation afin qu’il continue de se perfectionner et suivre l’évolution du concept. L’enseigne lui assure ensuite un accompagnement technique et commercial.
La franchise a aujourd’hui 5 implantations et met en avant un chiffre d’affaires potentiel de 650 000 euros dès la deuxième année avec un panier moyen de 8 000 euros et une marge brute moyenne de 70%.
Pour ouvrir une franchise PÉRÉNIA, l’apport personnel est de 30 000 euros et les droits d’entrée de 25 000 euros.