S’il est vrai que vous disposez d’informations dans le DIP (document d’informations précontractuelles conforme à la loi Doubin ) que vous remet un franchiseur au moins 20 jours avant la signature du contrat, il n’est pas inutile de faire des recherches en parallèle pour le compléter ce qui vous confirmera dans votre choix.
Avant toute chose, savoir si le concept est bon, ce qui signifie qu’il est innovant et dans un secteur porteur. Ne vous embarquez pas dans un réseau connu qui même s’il compte beaucoup de points de ventes et a un chiffre d’affaires en progression est sur un marché en fin de vie ou très concurrentiel. En bref, quelles sont ses parts de marchés, sa politique marketing face à ses concurrents, sa stratégie pour les 2 ans à venir.
Si le réseau est jeune, quel est son modèle de développement ? Commencer avec une franchise jeune peut comporter plus de risques mais aussi des perspectives d’avenir si le concept apporte un plus sur son marché et que le réseau est déjà bien structuré. Y a t il une unité pilote, depuis quand le concept est-il en place ? Quels sont les résultats ?
Le franchiseur d’une enseigne nationale ou internationale doit être propriétaire ou titulaire de sa marque. . Creusez plus et demandez lui quel est son budget de communication et son taux de notoriété et surtout de quand date-t-il.
N’hésitez pas à rencontrer des franchisés pour leur demander quels sont les rapports avec le franchiseur et faites la même chose avec lui. S’il y a divergences, savoir pourquoi.
Plus vous en saurez avant de signer, plus vous aurez de chances d’adhérer en pleine connaissance de cause et sans arrières pensées au réseau.