S’appuyant sur un concept original, la franchise Au Nom de la Rose souhaite continuer à développer son réseau et cible prioritairement une quarantaine de villes sur toute la France.
Fleuriste expérimenté ou débutant complet, seul ou à deux, entrepreneur aguerri ou non Pour devenir membre du réseau de la franchise de fleuristes Au Nom de la Rose, il n’existe pas de profil idéal. L’unique valeur que partagent les membres du réseau : la passion des roses et d’un concept.
Cette valeur apparaît d’ailleurs dans le discours des franchisés lorsqu’on les questionne. Franck Lebrun, franchisé de Fontainebleau (77), est issu du milieu bancaire. Il y a quatre ans, il décide de se reconvertir professionnellement. Il a alors un coup de coeur pour la marque et les boutiques qui sont «comme une jardin au milieu de la ville». Pour lui, c’était «au nom de la rose sinon rien». Cela fait maintenant 3 ans qu’il a ouvert sa franchise Au Nom de la Rose avec son épouse. Il apprécie notamment le fait que les franchises soient «à taille humaine» et le «bon accompagnement de la marque auprès des franchisés».
Pour aider ses futurs franchisés, Au nom de la rose assure à chacun une formation spécifique, ainsi qu’une assistance, avant, pendant et après l’ouverture.
Fort de son concept original et de son implantation en France et à l’international, la franchise Au nom de la Rose prévoit d’ouvrir 12 nouvelles boutiques en 2010 dont 6 boutiques en France et 6 à l’international (Italie, Espagne, Russie). Sur le plus long terme, Au Nom de la Rose souhaiterait ouvrir 25 nouvelles franchises d’ici 4 ans pour arriver au nombre de 60 franchises en France.
A l’international, le concept fonctionnement également très bien. Farid Djouad-Guibert, directeur général de la marque, explique cela par le fait que «Au Nom de la Rose est le seul concept dédié à une seule fleur et à la rose qui plus est. Le fort attachement à ce produit est une grande force. Dans grand nombre de pays, la rose est très souvent la fleur préférée. C’est également et surtout la fleur la plus achetée au niveau mondial».