Maintenant que la crise immobilière est derrière nous, force est de constater que les agences en franchise s’en sortent mieux que les isolés. Après l’augmentation presqu’anormale des années 97 à 2007 où le nombre d’agences avaient quasiment été multiplié par deux, ceux qui s’étaient engouffrés dans ce marché porteur sans appui d’un réseau n’ont pas résisté et ont parfois mis la clef sous la porte.
Un secteur en évolution
Par contre l’immobilier en franchise a mieux résisté et repart de plus belle. Ce n’est pas un hasard car ce modèle de commerce organisé offre des avantages de poids : fichiers communs dans toute la France par exemple. De plus, la crise a aussi permis de faire le tri entre les vrais professionnels et les opportunistes qui pouvaient faire illusion à une période où les transactions se faisaient presque trop facilement.
C’est aujourd’hui, un juste retour aux choses : les vrais professionnels tirent leur épingle du jeu. En effet, selon une étude menée par la franchise Guy Hoquet, les clients attendent d’un agent immobilier des conseils, un accompagnement et une connaissance parfaite du marché et de la législation en vigueur et ils le trouvent dans les réseaux organisés et reconnus.