Crise et LME ont fragilisé la trésorerie de certaines entreprises de distribution

  • Créé le : 27/05/2014
  • Modifé le : 19/08/2020
Après les années de croissance du début des années 2000, la crise de 2008 a ralenti l’activité économique ( moins de demande) et la LME (loi de modernisation de l’économie) a raccourci les délais de paiement aux fournisseurs passant de 90 jours voire 120 jours à 45 jours en 2012. Cela signifie que le distributeur réglait son fournisseur souvent après avoir vendu les produits au client, d’où une avance sur la trésorerie. Aujourd’hui, c’est souvent le contraire et nombre d’entreprises ont vu leur trésorerie se fragiliser par ce phénomène.

Les entreprises pouvaient jouer sur les rentrées d’argent –la demande était quasiment assurée- et disposaient toujours ou presque du crédit fournisseur. Elles pouvaient obtenir des banques des financements facilement en cas de besoin ponctuel car c’était toujours du court terme. C’est beaucoup plus difficile aujourd’hui car les besoins en capitaux sont sur de plus longues durées et la garantie de chiffre d’affaires moins sûre.

Surveiller sa trésorerie est devenu une question de survie.

Les entreprises sont soumises à une action prioritaire : bien gérer son BFR (besoin en fond de roulement) : c’est-à-dire diminuer les stocks, travailler en flux tendu, et augmenter la rotation des produits pour le diminuer au maximum et ne pas faire appel au crédit. Il doit être établi pour au moins 3 mois. Un équilibre pas toujours facile à faire et le besoin de crédit bancaire lui aussi pas toujours facile à obtenir.
Les entreprises auront besoin de plus en plus des banques. Celles-ci devront faire la différence entre les entreprises qui ont de bonnes bases et dont le problème de trésorerie est conjoncturel et celles à l’équilibre fragile qui ont toujours eu structurellement des problèmes de trésorerie. Dans le premier cas, les banques pourront les accompagner le temps de la réorganisation interne et l’adaptation au nouveau système, dans le second cas, elles se montreront surement moins ouvertes au dialogue.

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