Appartenir à un réseau de franchise semble donner davantage de force aux franchisés. Les trois quarts d’entre eux estiment qu’ils résistent mieux à la crise qu’un commerçant indépendant. Plus de la moitié expriment le fait qu’ils seraient gênés de ne plus appartenir à un réseau.
Aussi les franchisés participent davantage à la vie du réseau, via des conventions ou des commissions de travail thématiques. Ils pensent clairement qu’ils ont mieux résisté à la crise et veulent continuer avec le réseau. Ils sont nombreux à souligner que leur revenu s’est maintenu et en savent gré à leur franchiseur.
De leurs côtés les franchiseurs ont pris le parti de développer l’écoute et l’animation. On ne laisse pas le franchisé dans la nature, les visites sont de plus en plus fréquentes. On l’accompagne en s’impliquant dans son développement.
Vu dans Réussir L’Express Le Figaro