AC Franchise : Comment et pourquoi avez-vous décidé de devenir franchisé Midas ?
Arnaud Playez : Avec la crise et durant trois années consécutives, je voyais que l’activité baissait de 15 points par an. Je devais même remettre régulièrement de l’argent dans l’une de mes deux entreprises.
Aussi, j’ai vraiment été réceptif, lorsque j’ai reçu, via internet, une invitation à rejoindre le réseau Midas. J’ai alors été rapidement contacté par Monsieur Willy Hennebil, qui est chargé d’expansion.
ACF : Pourquoi avoir choisi ce réseau et qu’est-ce qui vous a séduit ?
AP : je connaissais la notoriété de Midas depuis longtemps. Après avoir été en relation avec le responsable d’expansion, j’ai été invité à une journée découverte sur Paris où m’ont été présentées plusieurs personnes du réseau. J’ai d’abord été séduit par l’esprit familial qui se dégageait de se réseau, on a vraiment l’impression d’appartenir à une grande famille, chose que je n’avais jamais connu avec l’un de mes concessionnaires par exemple.D’autre part, je me suis rendu compte que le réseau était très bien structuré : on savait qui faisait quoi et comment le réseau pouvait être à même d’aider les franchisés. Cela m’a beaucoup rassuré.
ACF : Comment s’est déroulé votre projet et comment avez-vous été accompagné par le franchiseur ?
AP : La décision a été difficile à prendre, car il faut « franchir le pas », mais quand je l’ai prise et vu que je disposais déjà d’un garage, j’ai pu ouvrir mon centre Midas à peine 3 mois après ma rencontre avec la tête de réseau. Tout s’est donc passé très vite : leur cabinet comptable avait pu me remettre le prévisionnel très rapidement, j’ai été accompagné pour ma demande auprès de la banque référencée par le réseau…
J’ai bénéficiais d’une formation complète de 15 jours pour le théorique et de 4 semaines sur site, dans plusieurs centres
L’ouverture de mon centre s’est faite le 17 juin 2013.
J’ai pu bénéficier de l’aide du Responsable Secteur pour la partie commerciale, la 1ère semaine de mon ouverture et de l’aide du Chef de centre mobile pour la partie méthodologie en seconde semaine d’ouverture.
L’activité a été bonne toute de suite. Le fait d’ouvrir sur la période précédent les vacances d’été n’y était pas étrangère.
ACF : Avez-vous rencontré des difficultés, quelles sont-elles ?
AP : J’ai travaillé quasiment non-stop les 4 premiers mois qui ont suivi l’ouverture. J’étais un peu stressé par la charge de travail, mais sinon, je n’en ai pas rencontré mise à part la difficulté de prendre la décision de me lancer, mais je l’ai fait et aujourd’hui, je ne le regrette vraiment pas.
ACF : Comment se porte votre point de vente aujourd’hu ? Avez-vous d’autres projets ?
AP : Alors que le prévisionnel annonçait un CA en première année de 450 K€, je devrais être plutôt entre 600 et 650 K€ et alors que l’investissement intitial était de 100 K€, hors local. Il me tarde d’ouvrir mon second centre, chose que je ferai dès que j’en aurais l’occasion…
ACF : Quels conseils donneriez-vous aux candidats désireux de rejoindre le réseau ?
AP : Je leur conseillerais de bien monter leur projet et s’ils ne sont pas du métier, ils seront, de toute manière, suivis et accompagnés par le réseau. Sinon, il faut foncer !