La sélection :
– Les Etats-Unis, qui malgré la crise, restent, il faut bien le rappeler, la première puissance mondiale, capable d’accueillir des projets à forte valeur ajoutée ou des positionnements de niche. Selon L’Entreprise, c’est le moment d’investir le segment green building et de proposer à l’industrie américaine des solutions d’amélioration de ses outils et de sa productivité. @rating pays : A2*.
– Le Brésil, en pleine modernisation de son économie, qui offre de belles opportunités dans le secteur des biens de consommation, à destination de la classe moyenne émergente, dans celui des transports urbains, des infrastructures routières et maritimes et dans l’agrobusiness. @rating pays : A4*.
– Le Mexique, véritable plate-forme vers les marchés d’Amérique latine, vers les Etats-Unis et vers le Canada reste un pays prometteur pour qui souhaite investir sur les secteurs des infrastructures, des énergies renouvelables, de la sécurité, du tourisme ou des biens de consommation. @rating pays : A4*.
* La notation @rating Coface correspond au niveau de risque moyen présenté par les entreprises d’un pays dans le cadre de leurs transactions commerciales à court terme :
A1 : la situation politique et économique est très favorable et l’environnement des affaires est de qualité. Cet environnement influe favorablement sur le comportement de paiement des entreprises. La probabilité moyenne de défaut de paiement est très faible.
A2 : la situation politique et économique est favorable, l’environnement des affaires peut comporter quelques lacunes. La probabilité moyenne de défaut des entreprises est peu élevée.
A3 : le comportement de paiement est susceptible d’être affecté par une modification de l’environnement économique et politique du pays qui est globalement favorable mais volatil. L’environnement des affaires comporte des lacunes. La probabilité moyenne de défaut des entreprises se situe à un niveau convenable.
A4 : les perspectives politiques et économiques peuvent être marquées par quelques fragilités. Une relative volatilité de l’environnement des affaires est susceptible d’affecter les comportements de paiement mais la probabilité moyenne de défaut de paiement reste acceptable.
B : des incertitudes au plan économique et financier et un environnement des affaires parfois difficile sont susceptibles d’affecter des comportements de paiement. La probabilité moyenne de défaut des entreprises est assez élevée.
C : les perspectives économiques et politiques sont très incertaines, l’environnement des affaires comporte de nombreuses lacunes de nature à détériorer sensiblement le comportement de paiement. La probabilité moyenne de défaut des entreprises est élevée.
D : l’environnement économique et politique présente des risques très élevés et l’environnement des affaires peut être très difficile. Ces fragilités peuvent avoir un impact très sensible sur les comportements de paiement. La probabilité moyenne de défaut des entreprises est très élevée.