Pour sublimer ses gammes de chocolats fins et gourmands, le chocolatier français Yves Thuriès, récolte son cacao de grande qualité dans une plantation située en Équateur, berceau même de la célèbre fève noire.
Afin que la production du cacao soit optimale et réalisée dans les meilleures conditions sociales et environnementales, le double Meilleur Ouvrier de France exploite, depuis 2015, une plantation qui répond à toutes les critères de la norme internationale UTZ ; une certification des plus exigeante qui nécessite que la plantation réponde à 160 points de conformité pour être obtenue.
Respect & Équité
La certification UTZ rassemble un ensemble de mesures qui encadrent les conditions de travail, le traitement de l’environnement, ou encore les différentes pratiques et méthodes de fabrication. Ci-joint les règles qui lui sont associées :
- Une infirmerie est ouverte chaque jour et un médecin vient en consultation une fois par semaine pour les travailleurs et les membres de leur famille
- Les travailleurs bénéficient de nombreuses formations sur leurs droits, l’environnement, les meilleures pratiques agricoles, la sécurité au travail, la santé et les premiers secours.
- Le travail est réglementé afin d’éviter les accidents, de limiter les gestes dangereux et d’empêcher le port de charges trop lourdes.
- Les récoltants bénéficient d’un salaire supérieur au SMIC équatorien.
- Ils sont par ailleurs affiliés à la Sécurité Sociale et peuvent devenir membres d’une organisation syndicale.
- Le travail des enfants est formellement interdit à San Fernando et, pour pouvoir travailler sur la plantation, les parents doivent fournir un certificat scolaire de leurs enfants.
La protection des terres et de l’environnement est au cœur des préoccupations à San Fernando et c’est pour cela que les équipes Yves Thuriès veillent à respecter cette norme de la plus haute importance.
« Lors de mes passages en Équateur, précise à ce propos M. Thuriès, j’y ai rencontré des gens bien traités, des enfants scolarisés et, bien sûr, du cacao produit de façon respectueuse », déclare M.Thuriès.
