Le retour à la cuisine confectionnée à la maison fait le succès de l’électroménager

  • Créé le : 20/12/2010
  • Modifé le : 06/06/2025
Le petit électroménager profite de la tendance aux plats préparés chez soi, due à la fois à la recherche d’une cuisine saine, mais également au développement de la recherche d’une alimentation plaisir, voire festive.

Les jeunes adultes et les parents se tournent aujourd’hui facilement vers la confection de plats à la maison grâce en particulier aux nombreux sites de recettes proposés sur internet, où l’on valorise tout autant la cuisine traditionnelle que la créativité des particuliers dans la préparation des plats.

D’après une enquête réalisée par TNS Sofres,  il apparaît que le « fait maison » est un phénomène de masse puisqu’il concerne plus des trois quarts des français d’aujourd’hui. Ainsi, contrairement à une idée reçue qui persiste dans les médias, 97%des Français font ou ont dans leur foyer quelqu’un qui fait de la cuisine «maison». Seulement 3% n’achètent que des produits «tout faits». Dans la population française de 18 ans et plus, seuls 16 % ne font pas de cuisine, célibataires masculins de plus de cinquante ans majoritairement, et 2% n’utilisent pas d’appareils de PEM (petit électroménager) pour leurs préparations.

Au contraire 82% des individus qui font de la cuisine «maison» utilisent au moins un appareil de PEM On comprend pourquoi le chiffre d’affaires du secteur continue sa croissance. Les produits de l’électroménager qui se vendent le plus sont les hachoirs, robots, mixeurs et presse-agrumes. Les PEM les plus laissés en exposition ne sont pas forcément ceux qui sont les plus utilisés, mais les plus polyvalents ou les plus récents.

Les motivations évoquées sont la recherche d’une alimentation saine et la santé. On pense donc qu’il s’agit d’une tendance de fond qui devrait se maintenir et non pas d’un retour à une cuisine « maison » en raison de difficultés économiques dues à la crise.

Les résultats de l’enquête donnent comme motivations dans l’ordre : la santé (manger sain, maîtriser ce qu’on mange) pour un tiers, le plaisir (bien manger) et la convivialité (recevoir, faire plaisir aux siens), pour 20 % chacun, le côté économique (coûte moins cher) pour 12 % et ensuite le savoir faire (art culinaire), puis le respect de l’environnement. 

On se trouve donc face à la lutte contre la mal-bouffe avec le souci d’une nourriture saine, naturelle et aussi fonctionnelle. Des valeurs sont associées à cette tendance, comme la transmission au sein de la famille ou la possibilité de faire des choses ensemble et de les partager. Ainsi 7 personnes sur 10 préfèrent confectionner leurs plats avec quelqu’un et plus de la moitié partagent les recettes avec les amis ou la famille.

L’enquête conclut sur l’idée que la tendance continuera à s’amplifier puisqu’elle concerne majoritairement des femmes de 35 à 49 ans Ah ! la fameuse ménagère de moins de 50 ans

Dominique Deslandes

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