Christophe Odoux : « La franchise Heureux Comme Alexandre est un concept unique qui fonctionne depuis vingt ans et qui se résume en trois mots : Qualité, Simplicité et Efficacité ! 99,99 % des clients nous félicitent et apprécient notre formule à 15 euros par personne. Cette formule à prix unique comprend une entrée (salade composée à volonté) et le choix entre trois plats (fondue bourguignonne, fondue savoyarde et pierrade) servis avec des pommes de terre sautées « maison » à volonté. Il n’y a pas de dessert, mis à part le produit phare du restaurant que tout le monde réclame à la sortie, de 7 à 77 ans : les sucettes Chupa Chups ! »
AC Franchise : Comment se porte le marché de la restauration actuellement ? Quelle place a votre enseigne sur le marché ?
CO : « Le marché de la fondue et de la pierrade est en pleine explosion avec un véritable engouement des consommateurs pour ce type de restauration. Face à l’explosion des « mange debout », la tendance revient à la restauration traditionnelle synonyme de diners conviviaux entre amis ou en famille. Les consommateurs cherchent à passer des moments de détente agréables et reposants. Leader sur son secteur, Heureux Comme Alexandre propose de passer un moment de « bonheur à l’état pur » autour d’une fondue ou d’une pierrade ! »
AC Franchise : Quelle est l’originalité de votre concept de restauration thématique?
CO : « Nous offrons un concept alliant qualité, simplicité et efficacité ! Nous proposons une formule unique au prix de 15€ par personne avec une entrée à volonté, trois plats au choix accompagnés de pommes de terre et sans dessert. Aujourd’hui, tout le monde cherche à offrir un maximum de prestations tandis qu’Heureux Comme Alexandre a réussi, au cours de ces vingt dernières années d’existence, à optimiser au maximum sa formule, la rentabilité, la gestion, le fonctionnement, et le concept en lui-même ! »
AC Franchise : Parlez-nous de votre développement jusque maintenant et de la réussite de vos franchisés existants.
CO : « En 2002, j’ai acheté le restaurant qui avait ouvert ses portes en 1987 sous l’enseigne Alexandre. En 2005 et après deux ans d’étude, j’ai décidé de me préparer pour développer mon réseau de franchise. C’est en 2007 le premier franchisé a ouvert son restaurant à Paris, dans le 5ème arrondissement. Grâce à un bon emplacement et à son dynamisme, il réalise déjà un meilleur chiffre d’affaires que mon unité pilote ! »
AC Franchise : Quelles sont vos cibles d’implantation ?
CO : « Toutes les grandes agglomérations que ce soit au Nord ou au Sud de la France (la pierrade fonctionne très bien en terrasse même quand il fait chaud) ; nous cherchons des locaux de faible taille avec terrasse obligatoire, si possible dans la rue « gourmande » où alors dans des zones de restauration et de fort passage. Nous sommes également très intéressés par les grands sites touristiques. «
AC Franchise : Quels sont les avantages spécifiques de votre réseau pour un franchisé ?
CO : « Pour un apport minimum sur des petites structures, les franchisés bénéficieront d’un concept simple dans l’apprentissage et dans la gestion, pour une forte rentabilité au m². Ouvrir un restaurant Heureux Comme Alexandre nécessite une main d’uvre minimale, ce qui réduit les problèmes liés au recrutement, au remplacement et au management (nous n’avons même pas besoin de cuisinier!)
A vrai dire, le principal attrait pour un franchisé, c’est de bénéficier de ce haut niveau de rentabilité tout en animant un restaurant où les clients sont heureux. «
AC Franchise : En échange, quels efforts demandez-vous à un franchisé ? Et quel type de candidat recherchez-vous ?
CO : « J’attends que les franchisés respectent le concept de notre restauration, le savoir-faire et la façon de l’exploiter ! Il est important qu’ils s’impliquent réellement dans la vie de la franchise et qu’il existe un vrai partenariat entre franchiseur et franchisé. Ils ne doivent pas obligatoirement avoir de formation hôtelière mais être dynamiques et motivés ! Il faut également qu’ils soient commerçants car ce sont eux qui servent la clientèle (et qui empochent les pourboires !). »