Interview vidéo AC Franchise Daniel Moquet réalisée en 2009
ACF : M. Gabas bonjour, vous êtes franchisé Daniel Moquet. Pourquoi avez-vous choisi ce concept ?
Alexandre Gabas : « J’ai choisi ce concept parce qu’il s’adresse à des particuliers. C’est un concept réel que nous pouvons toucher et quand nous terminons une réalisation, nous avons quelque chose de concret. Lorsque nous allons chez un particulier – chez une personne qui demande un service ou un bien – et que nous partons de chez lui après avoir terminé le travail, il est satisfait ».
ACF : A quoi ressemble une journée type d’un franchisé Daniel Moquet ?
AG : « C’est une journée qui se décompose en deux parties. La première partie, le matin nous avons la mise en chantier avec les ouvriers. La deuxième partie de la journée c’est toute la partie administrative et la partie commerciale. Donc nous avons la mise en chantier le matin par la suite le démarchage ou le suivi des chantiers qui ont été commencés. Généralement, cela se passe très bien donc le suivi des chantiers est facile ».
ACF : Vous avez lancé votre activité en juin 2008. Comment se passe le démarrage ?
AG : « Le démarrage se fait en plusieurs étapes. Nous avons d’abord la formation, on apprend un métier qu’on ne connait pas. Nous avons une assistance opérationnelle de la part du franchiseur Daniel Moquet. Il nous apprend tout ce que l’on doit faire et tout ce que l’on ne doit pas faire. Par la suite, nous avons une partie démarchage commercial, cela se passe sur trois mois. Donc avant de démarrer les premiers chantiers nous faisons du démarchage commercial de façon à voir les chantiers. Et la troisième partie, c’est le démarrage effectif du chantier ».
ACF : Quel soutien vous apporte le franchiseur ?
AG : « Le franchiseur a un rôle prépondérant. En fait sans lui nous ne pouvons pas faire ce que l’on fait parce qu’il nous apporte le travail, l’expérience – qui est fondamentale – il a 25 ans d’expérience qu’il nous transmet en quelques mois et nous la mettons en pratique en quelques mois aussi. Cela ne peut pas se vivre qu’avec le franchiseur. Il nous aide au niveau de la formation, du démarrage, avec toute l’assistance qu’elle soit administrative ou commerciale. Il a déjà un vécu, il nous apporte donc tout ce dont nous avons besoin pour justement démarrer sans se tromper ».
ACF : Si vous deviez donner un conseil à un futur franchisé, qu’est ce que vous lui diriez ?
AG : « Le conseil que je lui donnerais c’est d’abord d’être sûr de ce qu’il veut faire, c’est-à-dire que le matin quand il va se lever il faut qu’il ait l’envie de faire ce métier. C’est un métier qui s’adresse à des particuliers, nous travaillons à l’extérieur, nous allons chez les gens donc nous ne sommes pas passifs mais actifs. Nous n’attendons pas que les clients viennent chez nous. Il faut qu’il soit motivé par l’investissement qui est relativement important et que l’on fait généralement une seule fois puisque on investit dans le matériel la première fois. Mais très rapidement nous avons un retour sur investissement qui est quasiment assuré ».