Le marché des services à domicile est énorme, croissant, mais pas toujours rentable à cause du bénévolat, du travail au noir et du poids des associations qui fausse la concurrence avec ses 200 000 emplois.
Mais le capital nécessaire est faible. Alors ce peut être une première étape dans l’indépendance pour des personnes à la fibre « sociale » mais économiquement réalistes.
En effet, les taux horaires ne peuvent pas s’envoler et il est nécessaire de garder les pieds sur terre dans sa gestion. Certains réseaux n’ont pas résisté sur ce marché et il est nécessaire de bien écouter les franchisés en place et de bien comprendre le fonctionnement du concept avant de décider si on est fait pour cela et si le concept est assez pertinent pour se lancer.
Jean Dezitter