Description de l’activité :
Proposer des produits financiers et immobiliers pour se mettre à l’abri, pour préparer sa retraite, pour se constituer un patrimopine et assurer une réduction d’impôt au client.
Point de vue du franchiseur ou de la tête de réseau :
Bertrand Reghem : Fiventis a été créée en 2002 à partir d’une compétence de gestion de patrimoine. Il existe des textes de loi qui permettent de compresser l’impôt en particulier par le placement financier et la construction de logements locatifs : Besson, De Robien, etc. Les lois évoluent mais le marché est pérenne car on a pu observer qu’en dépit des changements politiques intervenus le cadre a été maintenu, même élargi… Vous savez il y a un déficit de 600 000 logements en France, cela intéresse les gouvernements successifs de favoriser l’acquisition de logements neufs à usage locatifs et de proposer des réductions d’impôts aux investisseurs.
Comment avez-vous procédé pour installer Fiventis sur le territoire français ?
BR : Au démarrage de notre activité, nous avons choisi la proximité. Nous nous sommes basés à Rouen pour avoir comme zone de chalandise la Haute-Normandie, le Nord de la France, la région d’Amiens. Notre concept répond à une demande précise, il est bon et nous obtenons des résultats. Actuellement notre groupe a 12 points de vente dans le Nord et le Nord-Ouest de la France, nous souhaitons désormais nous étendre sur tout l’hexagone grâce à la franchise.
La thématique est simple, le franchisé Fiventis doit s’organiser pour répondre aux préoccupations actuelles concernant la retraite pour de nombreux contribuables. En fait nous proposons à nos clients de réaliser des actes de bonne gestion. Donc il prépare leur avenir et leur permet de se constituer un capital à moindre frais.
Vous souhaitez actuellement développer votre réseau Fiventis, pouvez-vous nous préciser ce que vous apportez aux candidats ?
BR : D’abord un concept bien né axé sur l’efficacité patrimoniale et intégrant l’économie d’impôts, nous avons un véritable savoir-faire. C’est sous l’impulsion de notre directeur commercial, Pierre Delafosse, que nous avons décidé début 2005 de faire appel à des candidats franchisés pour étendre notre réseau à tout le territoire national. Aujourd’hui nous avons un réseau interne de 70 collaborateurs et pouvons proposer une formation de qualité ainsi que tous les outils marketing nécessaires.
Qu’attendez-vous des futurs franchisés ?
BR : Nous souhaitons que ce soit de véritables entrepreneurs, assez expérimentés, disons de 35 à 50 ans, hommes ou femmes, ayant une expérience de réseau ou de force de vente. Ils devront créer une forte image de notoriété, renforcer la qualité de la marque déjà bien reconnue. C’est un business qui demande de la matière grise aussi : du conseil, une présence, une technicité. Dans notre métier nous sommes comme des coach, c’est un travail de consultant mais aussi un travail d’équipe. Une formation de type commercial, orientée management est idéale car ils auront à mener des équipes de 5 à 20 collaborateurs. S’ils ont une connaissance des institutions locales c’est un plus. Le droit d’entrée est de 50 000 et comprend tous les éléments d’identité visuelle de la marque.
Avez-vous imaginé des règles de fonctionnement, d’organisation de ce réseau ?
BR : Déjà chaque franchisé aura un territoire bien identifié, il y aura une agence par grande ville. Il bénéficiera de nombreux outils bien au point : le back office, les outils informatiques, l’assistance technique, la formation d’environ un mois au départ mais qui se poursuit sous forme de stages de formation continue. Une agence de marketing gère l’identité commerciale du réseau et assure une présence média nationale dans des magazines spécialisés et des supports régionaux. Nous organisons des soirées d’information avec cocktail qui sont de véritables opérations de relations publiques permettant au franchisé de bien s’intégrer dans le tissu local. Le franchisé doit avoir le sens de la relation de proximité, il propose un service à la personne basé sur la défiscalisation, la réduction d’impôt, son client doit pouvoir le reconnaître, lui faire confiance.
Note d’AC Franchise : Comme toujours les réponses n’engagen que leur auteur